Affluence record cette année au Salon maghrébin du livre

Affluence record cette année au Salon maghrébin du livre

Affluence record cette année au Salon maghrébin du livre

La 3ème édition du Salon maghrébin du livre à Oujda ''Lettres du Maghreb", qui a pris fin dimanche soir, a accueilli quelque 48.000 visiteurs, a indiqué le président du Salon, Mohamed Mbarki. "Cette affluence considérable des visiteurs est un motif de fierté et de satisfaction pour les organisateurs de ce salon", organisé du 9 au 13 octobre par l’Agence de développement de l’Oriental, sous le Haut patronage de S.M le Roi Mohammed VI, a dit M. Mbarki lors d’une conférence de presse consacrée à la présentation du bilan de cette 3è édition. Mettant l’accent sur les acquis et les résultats encourageants obtenus à tous les niveaux au fil des éditions, M. Mbarki a souligné l’impératif de la conjugaison des efforts des différentes parties pour assurer la continuité de ce salon qui est inscrit désormais dans l'agenda des salons internationaux et s’impose comme un événement majeur à l’échelon national, et ce en dépit de son jeune âge. Il a toutefois relevé que les organisateurs du salon demeurent à l’écoute des critiques et des propositions, et continueront dans ce sens à travailler pour remédier aux lacunes relevées, innover et enrichir davantage la programmation de cet événement qui se veut démocratique et libre, et partant conforter son rayonnement.

Faisant un bilan préliminaire de la 3è édition dont le Cameroun était l’invité d’honneur, M. Mbarki a fait état de la participation de 260 intellectuels et intervenants de renom et de 40 éditeurs du Maroc et d’ailleurs, ainsi que de l’organisation de 47 tables rondes, dix activités d’animation et 14 expositions artistiques, hommages et colloques. Rappelant que les débats ont été placés sous le signe "La transmission", qui est un sujet d’actualité, il a indiqué que le salon, initié selon les normes internationales, a pour objectif de créer un espace de dialogue et d’ouverture riche et sans autre intérêt que celui du partage et d’échange d’idées. Il a aussi mis en avant la volonté marquée des organisateurs de démocratiser la lecture et l’art auprès du jeune public à travers de nombreuses activités, ajoutant dans ce sens que le salon a fait cette année la part belle aux enfants et aux jeunes avec pour ambitions de marquer leurs esprits et de susciter leur intérêt.

Source : Libération.ma

Salon Maghrébin du livre : Unanimement apprécié

La troisième édition de «Lettres du Maghreb», le Salon maghrébin du livre d’Oujda, ferme ses portes ce week-end. Organisé à l’initiative de l’Agence de l’Oriental, l’événement littéraire phare du moment accueille cette année une quarantaine d’éditeurs dont 10 étrangers venus notamment du Maghreb (Algérie, Tunisie et Libye) et des pays d’Afrique subsaharienne tels que le Mali et le Cameroun qui, rappelons-le, est à l’honneur de ce rendez-vous.
Libé a fait la ronde des stands aménagés au cœur de ce Salon, qui a choisi cette année comme thème « La Transmission », pour y rencontrer quelques éditeurs du continent présents à cette manifestation dont la dernière journée sera consacrée à des animations pour les jeunes et à des rencontres à caractère professionnel. L’intérêt de la démarche est de recueillir les avis des uns et des autres sur leur participation à « Lettres du Maghreb »- 2019, leur sentiment et leurs attentes quant à cette édition qui, rappelons-le également, fait la part belle à la jeunesse.
 Mouhtar Ousmane Mey, secrétaire général du ministère des Arts et de la Culture (Cameroun) :
Contribuer davantage à la visibilité des auteurs camerounais dans la région
« Nous sommes très honorés que la littérature camerounaise participe à ce salon. C’est aussi le résultat du travail de plus en plus visible qui est en train de se faire au niveau du Cameroun pour soutenir et promouvoir la littérature du pays. En témoigne la qualité des auteurs qui accompagnent notre délégation à cet événement littéraire.
L’hommage fait au Cameroun est donc une reconnaissance de la part du Maroc et du Maghreb de la place notre littérature dans le monde. Et nous espérons que notre présence à ce rendez-vous contribuera davantage à sa visibilité dans la région. Une littérature camerounaise qui, dois-je le souligner, est déjà reconnue sur le plan mondial.
Nous avons invité à ce salon un échantillon d’auteurs venus du Cameroun, de l’extrême nord du pays dans la zone tant anglophone que francophone, mais aussi de la diaspora pour marquer de leur poids ce salon.
Nous ne travaillons pas en lieu et place de nos auteurs et des éditeurs camerounais. Cependant, les autorités de notre pays essaient le plus possible de les accompagner voire de les encadrer pour que leur travail soit connu et apprécié de partout. Et nous sommes heureux de pouvoir poursuivre ce travail jusqu’au bout ».
 
Mohamed Salah Maalej, président de l’Union des éditeurs tunisiens et fondateur des éditions Kounouz (Tunisie) :
Le principe d’un Salon magrébin du livre est louable

«La présence des éditions Kounouz à ce salon est aussi une manière de soutenir cette excellente initiative qui promeut le livre maghrébin dans une région qui en a vraiment besoin.
Le livre maghrébin a vraiment besoin d’espaces de cette importance au regard des difficultés qu’il rencontre pour s’exporter hors de la région et surtout participer aux différents salons et foires organisés dans d’autres pays arabes.
Le transport du livre dans la région du Maghreb se fait par voie aérienne, alors que les éditeurs du Moyen-Orient peuvent aussi recourir à des voies terrestres. Cette contrainte alourdit les charges de nos éditeurs et se répercute sur le prix des livres produits dans la région qui, en dépit de la qualité des titres et des auteurs, peinent à faire face à la concurrence venant d’autres régions.
Notre souhait est que ce salon s’agrandisse de plus belle afin d’accueillir d’autres éditeurs qui, j’en suis certain, trouveront leur compte. »
 
 Ibrahima Aya, écrivain et fondateur des éditions Tombouctou (Mali) :
Découvrir le Mali et apprécier l’imaginaire et l’humanité de ses auteurs

« Le Salon maghrébin du livre d’Oujda offre aux éditions Tombouctou l’opportunité de présenter aux lecteurs du Maroc et particulièrement d’Oujda un nombre d’ouvrages de notre fonds écrits par des auteurs maliens qui essaient de communiquer avec le monde entier à partir de leur pays.
Les lecteurs y trouveront des œuvres empreintes d’un peu d’histoire ancienne et contemporaine du Mali et d’autres réalités intéressantes à partager et vivre. Des livres qui, d’une certaine manière, questionnent l’histoire ancienne et projettent les lecteurs sur l’avenir.
Concernant les spécificités de la littérature malienne et des auteurs du Mali, je pense que la meilleure façon d’en parler vraiment, c’est d’inciter les amoureux de la lecture à visiter notre stand et ainsi découvrir des titres que nous avons sélectionnés pour ce salon. Nous espérons qu’ils sauront saisir cette occasion pour découvrir le Mali et, au-delà, apprécier l’imaginaire et donc l’humanité de ses auteurs».
 
Ali Bey Abderrahmane, gérant de la Librairie du tiers-monde (Algérie) :
Un cadre magnifique de promotion pour les auteurs algériens

« La Librairie du tiers-monde participe pour la première fois au Salon maghrébin du livre d’Oujda qui offre un cadre magnifique de promotion pour les livres d’auteurs algériens et maghrébins. Notre participation à ce rendez-vous littéraire est aussi une manière de transmettre le savoir comme le suggère le thème de cette troisième édition, « La transmission ». Nous souhaitons vraiment y revenir une prochaine fois et participer à toutes les éditions à venir.
La littérature algérienne, c’est toute une histoire. Notre pays a eu des écrivains de la première et de la deuxième générations qui l’ont marqué de leur empreinte. Là, nous sommes maintenant à la troisième génération d’écrivains qui comprend notamment de jeunes auteurs dont bon nombre sont connus dans le monde à travers des livres faisant régulièrement l’objet de nouvelles rééditions en France par exemple.
S’agissant du livre numérique, comme partout dans le monde, il ne constitue pas une menace pour l’édition papier. Je pense qu’on en est encore loin pour dire qu’il menacerait la production papier ».
 
Pabé Mongo, président de l’Association des poètes et écrivains camerounais :
Une littérature en pleine ébullition

« La littérature camerounaise est aujourd’hui à l’image du Cameroun. Elle est assez offensive et connue à travers le monde. Pour s’en apercevoir, il n’y a qu’à voir la qualité des écrivains qui ont été invités à représenter notre pays à ce salon : Calixte Beyala, Gaston-Paul Effa, Léonora Miano, Djaïli Amadou Amal, Hemley Boum, Imbolo Mbue, Eugène Ebodé et Max Lobe. Ce sont là quelques-unes de grandes figures de notre littérature.
C’est une littérature très variée dans son expression avec de nombreux corpus. Nous avons une littérature en langue française, anglaise et en langue nationale. A ce propos, le Cameroun compte près de 250 langues vernaculaires qui ne s’écrivent certes pas encore toutes, mais il reste néanmoins vrai que le mouvement a commencé.
Vous avez aussi la littérature orale qui demeure aussi vivace et la littérature du numérique qui avance également.
C’est donc une littérature riche et très diversifiée dont les lecteurs marocains apprécieront la qualité des ouvrages ».
 

Source : Liberation.ma

Plus de 510 MDH pour des projets de développement

50 MDH seront affectés au financement du programme intégré de mise à niveau de l’espace rural de la région, 30 MDH seront dédiés au programme de développement de la province de Jerada et 10 MDH serviront à la réalisation de la voie de contournement de Nador.

En 2020, les recettes du Conseil de la région de l’Oriental devraient avoisiner les 738 MDH alors que les dépenses de fonctionnement devraient atteindre 227,6 MDH, en baisse de 12,4 MDH par rapport à l’exercice 2019. C’est ce qui ressort du budget du conseil validé à l’unanimité lundi dernier. Quant à l’excédent prévisionnel, estimé à 510,3 MDH, ce dernier sera affecté à la réalisation de plusieurs projets de développement. Il servira en outre au financement du programme intégré de mise à niveau de l’espace rural de la région à hauteur de 50 MDH. Près de 30 MDH seront dédiés au programme de développement de la province de Jerada.

Pour la réalisation de la voie de contournement de Nador, un investissement de 10 MDH a été prévu. Enfin, un budget de 12 MDH a été alloué à la réalisation des projets d’aménagement des infrastructures hydro-agricoles des périmètres irrigués des communes rurales de Béni Tadjit et Talsint. L’excédent servira aussi au financement de l’acquisition de bus scolaires, d’ambulances et de camions-citernes au profit des communes de la région (10 MDH), la construction, la modernisation et la réhabilitation des espaces de la mémoire historique, des centres du patrimoine culturel et des musées (5 MDH) et la création d’espaces de lecture (3 MDH).

Sur un autre registre, la session du conseil régional a été marquée par la validation de plusieurs projets de convention de partenariat. C’est le cas, entre autres, d’une convention de partenariat avec l’Agence marocaine de coopération internationale pour l’appui des étudiants issus d’Afrique subsaharienne. Les autres conventions portent sur un accord de développement du «train touristique» reliant Oujda à Bouarfa, lainsi que la création de centres de formation professionnelle de proximité et la réalisation de projets au sein des préfectures d’Oujda-Angad, Berkane, Jerada et Figuig dans le cadre du programme d’urgence exceptionnel pour le développement des zones frontalières (2018-2019). Par ailleurs, des projets d’avenant à des conventions de partenariat portant sur la promotion de l’activité conteneurs au port de Béni Ensar ont été adoptés.

Source : Leseco.ma

Développement du secteur minier: Six cartes géologiques réalisées dans la région de l’Oriental

Le ministère de l'Énergie, des mines et du développement durable a indiqué lundi avoir procédé à la réalisation de six cartes géologiques dans le Haut Atlas Oriental, régions de l’Oriental et de Drâa-Tafilalet (provinces de Figuig et de Midelt). L'initiative a été nourri par la volonté de dynamiser et de mettre en valeur le secteur minier.

Dans un communiqué, le ministère explique avoir porté le choix sur la région du Haut Atlas Oriental, réputée par ses substances métalliques à l’image du plomb et du zinc dans la zone de Bou Dahar et Bou Arhous, du fer et du cuivre dans la zone d’Imi n’Tourza, du manganèse à Bouarfa, du cuivre à Oumjrane-Bou Nahas et de la Barytine à Boumaiz, ainsi que ses roches et minéraux industrielles, mais qui restent sous-explorés.

La mise en œuvre de ce projet, qui a nécessité un budget de 9.779.040 DH, a été confiée à un groupement maroco-italien, pour la réalisation d’une campagne de cartographie géologique sur une superficie de 3.750 km2, correspondant aux feuilles topographiques régulières au 1/50 000e d’Aït Krojmane, Gourama, Galb At Tour, Aït Wazag, Mazzer et Tamaslamt.

Se félicitant de «l’aboutissement fructueux» de ce projet, ainsi que celui de la cartographie géochimique réceptionné en 2018 et réalisé dans le cadre de la coopération sino-marocaine (cartes d’Alnif, Msissi et de Fezzou), le département note avec satisfaction le développement de l’infrastructure géoscientifique de ces régions, dont la zone couverte par la Centrale d’achat et de développement de la région minière de Tafilalet et de Figuig (CADETAF).

Cette infrastructure géoscientifique qui constitue un préalable et une assise pour les projets touchant les domaines, aussi bien économiques que sociaux, notamment l’exploration minière, l’aménagement du territoire, l’agriculture, les géorisques et les études d’impact sur l’environnement, est présentée dans l'Application géospatiale des cartes géoscientifiques nationales du portail web du ministère.

Source : Le Matin

Oriental: Le Conseil de la région approuve son budget pour 2020

Le Conseil de la région de l’Oriental a approuvé, lundi lors de sa session ordinaire du mois d’octobre, son budget au titre de l’exercice 2020. Les recettes prévues devraient ainsi atteindre 738 millions de DH, contre des dépenses de fonctionnement estimées à 227,6 millions de DH, en baisse de 12,4 millions DH par rapport à l’exercice courant.

L’excédent de 510,3 millions de DH devrait permettre de financer plusieurs projets de développement dans la région. Une enveloppe de 50 millions de DH sera ainsi réservée au programme intégré de mise à niveau de l’espace rural de la région, alors que 30 millions de DH serviront à financer le programme de développement de la province de Jerada.

La réalisation de la voie de contournement de Nador (10 millions DH) et la réalisation des projets d’aménagement des infrastructures hydro-agricoles des périmètres irrigués des communes rurales de Béni Tadjit et Talsint (12 millions DH) figurent par ailleurs parmi les projets prévus.

Source : L'économiste

le Salon maghrébin du Livre revient pour la 3ème édition

Le Salon maghrébin du Livre revient pour la troisième édition. L’événement, placé sous le haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, est organisé par l’agence de l’Oriental, en partenariat notamment avec le ministère de la Culture et de la Communication, le ministère délégué chargé des Marocains Résidant à l’Etranger et des Affaires de la Migration, l’Union Professionnelle des Editeurs du Maroc et l’Institut français du Maroc à Oujda.

Du 9 au 13 octobre, ce salon consacrera le livre, comme étant un vecteur des valeurs et des croyances aux prochaines générations, d’où le choix du thème de la « transmission » pour cette édition.

Le Cameroun est à l’honneur de « lettres du Maghreb » cette année. Connu par la Poésie et la culture orale, le Cameroun est un pays dont la littérature est en pleine ébullition. Au sujet de cette participation, le ministre des arts et de la culture du Cameroun, Pierre Ismaël Bidoung affirme que « le Cameroun, Afrique en miniature s’illustre à merveille dans ce type d’événement ; nous y répondrons toujours présents ».

Cette manifestation culturelle, abritée par la capitale de l’Oriental, réunit essentiellement les intellectuels du Maghreb, mais invite également les auteurs du continent et d’ailleurs, pour rencontrer un public toujours plus nombreux à échanger sur des thématiques d’actualité.

Entre auteurs et conférenciers, environ 300 intervenants sont attendus. Il est à noter aussi que plus de 40 éditeurs participeront à cette édition. Ils viennent d’Egypte, du Koweït, des Emirats Arabes Unis, de la France, de l’Occitanie, de la Belgique, la Chine, le Cameroun et des pays du Maghreb.

Au menu de cette édition, 36 tables rondes et 10 expositions d’art plastiques sont prévues. Le programme annonce plusieurs activités dans différents espaces de la ville, à savoir l’Université Mohammed 1er, le Centre d’Etudes et de Recherches Humaines et Sociales d’Oujda, l’Institut Français d’Oujda, le Lycée Omar Ibn Abdelaziz, la Bibliothèque Charif Al Idrissi, la Galerie d’art Moulay Hassan, le Musée Lalla Meriem et la prison locale d’Oujda.

En outre, des hommages seront rendus à Frantz Fanon, Mongo Beti, Fatima Mernissi et Abdellah Guennoun.

Ce rendez-vous culturel confirme le rôle de carrefour de rencontre des intellectuels arabes que joue la ville d’Oujda et appuie sa vocation de « pôle maghrébin ».

Rappelons qu’en 2018, Oujda a été désignée capitale de la culture arabe. Elle est la deuxième ville marocaine à recevoir cet honneur après Rabat en 2003.

Source : Maroc Diplomatique

Nador: Marchica accueillera la Cité des métiers et des compétences

Le site de Marchica, à Nador, a été choisi pour accueillir la future Cité des métiers et des compétences (CMC) de la région de l’Oriental, a indiqué mercredi à Oujda la DG de l’OFPPT, Loubna Tricha.

La CMC sera réalisée sur une superficie de 12 hectares et devrait entrer en activité dès 2021, a précisé la patronne de l’Office en marge d’un atelier de restitution régionale sur le projet de création de la CMC de l’Oriental, dans le cadre de la Feuille de route pour le développement de la formation professionnelle. A noter que les études topographiques et géotechniques pour la construction de la CMC sont aujourd’hui réalisées.

La CMC de l’Oriental comprendra 8 pôles spécifiques (industrie, digital et offshoring, administration, gestion et commerce, agriculture, métiers de la santé, tourisme et hôtellerie, BTP et services à la personne). Elle disposera de 60 filières de formation, 80% en formation diplômante et 20% en formation qualifiante, pour un total de plus de 2.800 places pédagogiques, en plus des 420 places de l’Institut agroalimentaire de Berkane, qui sera rattaché à la CMC en tant qu’antenne.

Source : L'économiste

L’art culinaire de l’Oriental à l’honneur pour la 2ème édition du Festival euro-méditerranéen de gastronomie

L’art culinaire de la région de l’Oriental a été à l’honneur lors de la 2ème édition du Festival euro-méditerranéen de gastronomie, tenue du 03 au 06 octobre à Oujda et Saidia à l’initiative de l’Association des ambassadeurs de l’espoir pour le développement et le tourisme dans l’Oriental.

Le festival, placé cette année sous le thème «Découvrez les trésors de l’Oriental», vise à contribuer au développement touristique de la région de l’Oriental et au rayonnement de la région à l’échelle internationale, en la plaçant sur la carte des destinations gastronomiques mondiales.

Le programme de ce festival, organisé en collaboration notamment avec le Conseil régional du tourisme de l’Oriental, l’OFPPT et la Fédération marocaine des arts culinaires, a porté, entre autres, sur une exposition de l’artisanat et des produits de terroir de l’Oriental, des dégustations, des visites de sites touristiques de la région et une soirée de gala tenue à la station touristique de Saidia.

Cette édition a été aussi marquée par l’organisation d’un concours des arts culinaires pour les professionnels de la région de l’Oriental, remporté par Houssine Belabbas, en plus de deux autres concours dédiés aux jeunes talents de la région de l’Oriental et aux femmes au foyer (cuisine de terroir), remportés respectivement par Mohamed Ouchen et Ikram Dhif.

Dans une déclaration à la presse à cette occasion, le président du festival, Bachir Ayad, a indiqué que cet événement vise à mettre en avant l’art culinaire de la région de l’Oriental et en faire un atout de promotion touristique de la destination, en plus d’impliquer les Marocains résidant à l’étranger natifs de la région dans les efforts de développement de l’Oriental.

Les concours organisés lors de cette édition ont permis de mettre en exergue le niveau élevé des talents de la région dans le monde de la gastronomie, que ce soit chez les professionnels, les jeunes ou les amateurs, a-t-il ajouté.

Source : maroc-diplomatique.net

Journée de formation a taourirt lghil

Une journée d’information en direction des femmes rurales du village Aguemoune, commune de Taourirt Ighil, vient d’être organisée par l’association femme rurale «Afud» de la wilaya de Bejaia en collaboration avec l’association féminine d’Aguemoune. Cette journée qui s’est déroulée au niveau de la salle de réunion du comité du village d’Aguemoun, a été caractérisée par l’organisation d’un cycle de communications. Le premier thème abordé «Le développement de la femme en zone rurale» a été explicité par Mme Kacher, présidente de l’association «Afud».

Le représentant de la chambre de l’agriculture a abordé la problématique de la carte fellah et son importance. Enfin, la conservation des forêts de Bejaia a donné des éclaircissements sur « les possibilités d’investissement dans les forêts ». A noter que l’association «Afud» a organisé également une cérémonie de clôture de la formation sur la teinture naturelle de la laine avec la formation de 20 femmes et ce, en collaboration avec l’association «Femmes en communication». Pour rappel, la formation a duré trois jours, elle a débuté du 14 au 16 septembre 2019 au niveau du CFPA d’Akbou.

Dans ce sillage, une convention a été signée entre l’association femme rurale « Afud » de la wilaya de Béjaïa et le centre de formation professionnelle d’Akbou. La convention a pour objet la formation par l’association de femme sur la teinture naturelle de la laine avec la maître-artisane Youcef Khoudja Amina de l’association «Femmes en communication. La dite formation sera ponctuée par une attestation délivrée par le CFPA.

Par ailleurs et dans son plan d’action dédié à la femme rurale, l’association femme rurale «Afud» de la wilaya de Béjaïa en collaboration avec le comité du village Tardam à organisé, au début de ce mois de septembre, une autre journée d’information et de sensibilisation au niveau de la salle de réunion du village. Cette journée aura permis de prendre connaissance du travail et du savoir-faire des femmes de Tardam.

«Des femmes qui font de l’élevage caprin, culture maraîchère, les huiles d’olives, de «azeboudj», lentisques…», soulignera Mme Kacher avant d’ajouter : «L’objectif de l’association étant d’organiser des sessions de formation au profit des femmes sur des domaines qu’elles ne maîtrisent pas, mais aussi des formations qui entre dans le cadre des spécificités de la région connue pour ses vastes forêts riches en lentisque, myrte, arbousier,….

Une formation sera organisée sur la cueillette des plantes en collaboration avec la conservation des forêts qui expliquera les possibilités offertes dans ce domaine. L’autre invité est la chambre de l’agriculture vu l’importance donné à la valorisation du travail de la femme rurale. Des agriculteurs sont également venus nous soutenir et encourager les femmes.

Source : Depeche de kabylie

Le ciné-concert spatial T60 en tournée au Maroc y compris Oujda

L’Institut français du Maroc invite, du 11 au 25 octobre, la Compagnie des musiques télescopiques pour présenter son ciné-concert spatial T60 à Tanger, Kénitra, Casablanca, El Jadida, Marrakech, Oujda, Meknès et Rabat. Il s’agit d’une rencontre entre le monde artistique et scientifique.
«Ce ciné-concert part d’un constat simple : mettez devant vos yeux une paire de lentilles puissantes (jumelles ou télescope) et vous êtes aussitôt transportés là où vous regardez. C’est ainsi que depuis des siècles l’homme voyage avec légèreté, dans l’espace et le temps : l’astronome se transforme en astronaute !» explique un communiqué de l’Institut français. D’un film assemblé à partir d’images d’archives de la Nasa et du travail du vidéaste Jérémy Samoyault, la Compagnie des musiques télescopiques réalise à travers ce ciné-concert, un voyage sensationnel fait de poésie musicale et visuelle. La Compagnie des musiques télescopiques est un laboratoire de recherche extra-musical. Depuis 2011, les créations s’enrichissent de rencontres artistiques variées et atypiques (réalisateur, metteur en scène, artificier, astrophysiciens, philosophes, astronomes). 
Les projets créés rapprochent le monde artistique et scientifique, souvent opposés à tort. Chaque ciné-concert sera suivi d’une conférence de Sébastien Vauclair, docteur en astrophysique, créateur du bureau d’étude Dark Sky Lab et de la société Cosmodiff. Le ciné-concert sera proposé au public de Tanger le vendredi 11 octobre à 19h30 à la Salle Beckett de l’Institut français. Kénitra l’accueillera le lundi 14 octobre à 19 h à la Direction de la culture. Le lendemain, il sera à Casablanca à 20 h 30 au Théâtre 121 de l’Institut français. La Compagnie des musiques télescopiques se déplacera le 16 octobre à El Jadida pour présenter son show à 19 h à l’ENCG. Le spectacle de Marrakech est prévu le samedi 19 octobre à 18 h 30 à la Salle Leïla Alaoui de l’Institut français. Les 22 et 24 octobre, T60 sera respectivement au Théâtre Mohammed VI d’Oujda et au Théâtre de l’Institut français de Meknès. 
Un autre spectacle est prévu le vendredi 25 octobre à 20 h au Cinéma Renaissance à Rabat.

Source : Le Matin