Agriculture dans l’Oriental  La région bat des records

Agriculture dans l’Oriental La région bat des records

Agriculture dans l’Oriental La région bat des records

  • Saison inédite pour la betterave à sucre, raisin, pomme de terre et semences sélectionnées
  • 23.000 nouveaux hectares dédiés à l’irrigation localisé

La production agricole a réalisé de meilleures performances dans l’Oriental malgré le déficit pluviométrique enregistré au cours de la campagne 2015/2016. Deux programmes à l’origine de cette performance: la sauvegarde du cheptel et la protection des plantations.

Pour ce qui est de la sauvegarde du cheptel et la lutte contre les principales maladies infectieuses, le département de l’Agriculture n’a pas lésiné sur les moyens pour faire bénéficier les éleveurs et agriculteurs des différents programmes d’accompagnement. Il a piloté une vaste opération de distribution de l’orge subventionné au profit de 125.034 bénéficiaires (22% des bénéficiaires sur le plan national). Idem pour les quantités d’orge distribué qui ont dépassé 1,3 million de quintaux. S’y ajoute la distribution de 10.656 quintaux d’aliments composés, lancée en juin dernier et qui prendra fin en décembre pour renforcer le programme de distribution de l’orge subventionné. Des actions d’envergure qui ont ciblé les zones affectées par le déficit hydrique: les zones bours et zones de parcours.

L’Oriental, qui compte 3,8 millions de têtes de cheptel (dont 900.000 caprins) s’est équipé de 17 centres de distribution pour faciliter l’écoulement des subventions. Concernant les points d’abreuvement, le taux de réalisation à la mi-septembre a dépassé les 85%. Une opération qui a concerné l’aménagement et l’équipement de 241 points d’eau pour un investissement de 27 millions de DH. En parallèle, 143 citernes tractées et 217 autres en plastique (7 millions de DH) ont été distribuées pour encourager les agriculteurs et les éleveurs de la région, notamment au niveau des provinces de Figuig et Taourirt.

Sur le plan des terres valorisées, 23.000 hectares ont été programmés pour l’irrigation localisée et la sauvegarde des plantations. 19 marchés ont été lancés pour assurer la réussite de ce programme, spécialement au niveau des provinces de Driouch et Nador avec plus de 15.000 hectares. Deux provinces qui connaissent une vaste campagne de plantation pour diversifier leur production agricole.

La mise en valeur du périmètre irrigué et son approvisionnement en eau ont concerné 54.000 hectares au lieu des 45.000 hectares programmés. Derrière cette augmentation, l’Office régional de mise en valeur agricole de la Moulouya (ORMVAM) qui a pris toutes les dispositions humaines et matérielles pour réussir une bonne campagne malgré le déficit pluviométriques: meilleure gouvernance des tours d’eau, entretien des stations de pompage et les réseaux d’irrigation, amélioration des processus techniques de certaines cultures, rationalisation des moyens et vigilance des ressources humaines. Des dispositions qui ont engendré une production record dans la betterave avec 412.000 tonnes (+ 10% que la saison écoulée). Une aubaine pour les agriculteurs qui n’ont pas caché leur satisfaction.

De son côté, la Chambre de l’agriculture de l’Oriental s’est félicitée de l’engagement du ministère pour les efforts entrepris dans ce domaine, confie à L’Économiste Mimoun Oussar, président de ladite chambre. Même performance pour la pomme de terre qui a connu une production record de 106.000 tonnes (+28%). C’est le cas aussi pour les semences sélectionnées qui ont pulvérisé les prévisions de début de saison avec un taux de réalisation de 105% de la production (105.000 quintaux) et de 116% du rendement (58 quintaux/ha).

La production de la vigne, étalée sur 2.600 hectares, surfe également sur une meilleure rentabilité avec des productions qui gravitent autour de 43.000 tonnes (rendement moyen: 12,3 tonnes/ha).

Source: L'économiste

Oriental: Un nouveau dispositif d’aide à l’investissement

*30 millions de DH pour accompagner les porteurs de projets

*Des programmes modulables en fonction du projet

Le Conseil régional de l’Oriental (CRO) vient de lancer un fonds d’aide à l’investissement et la création de l’emploi. Doté de 30 millions de DH, il sera revu à la hausse au cours des prochaines années. L’objectif est de développer la croissance et encourager les porteurs de projets à valeur ajoutée (technique et environnementale) et créateurs d’emplois durables.

Y sont éligibles, les projets dont le montant d’investissement est supérieur ou égal à 1 million de dirhams avec au moins 20 emplois à créer. Les secteurs concernés sont l’agroalimentaire, la logistique, les énergies renouvelables, les secteurs innovants et les services à forte valeur ajoutée. D’autres incitations spécifiques supplémentaires sont prévues dans le cadre de ce dispositif. Le taux et le montant de l’aide sont modulables en fonction du programme d’investissement ainsi que du nombre d’emplois créés sur une durée de 3 ans. Des bonifications seront également octroyées aux projets qui assurent plus de 200 emplois, projets novateurs et respectueux de l’environnement, projets contribuant au développement des écosystèmes, projets employant des personnes à besoins spécifiques et projets employant des cadres lauréats des établissements universitaires.

«Avec le lancement de ce dispositif d’aide à l’investissement, le CRO propose un nouvel instrument de financement destiné aux entreprises et aux porteurs de projets privés articulé autour d’une subvention d’investissement et d’une prime pour la création de l’emploi», précise Abdenbi Bioui, président du CRO. En amont, c’est une nouvelle approche pour créer un cadre cohérent d’intervention et encourager la promotion de l’investissement et de l’emploi dans l’Oriental. «En dépit des grands projets structurants lancés depuis le discours royal historique du 18 mars 2003, l’investissement privé peine à se développer. Plusieurs facteurs expliquent cette inertie, notamment la faible compétitivité et le problème d’accès des PME et TPE au financement et au foncier professionnel», conclut Bioui.

À ces entraves, s’ajoute la faiblesse de l’investissement public, levier des investissements privés et moteur de croissance. Il ne dépasse guerre les 4% par an comparé à l’ensemble des investissements publics engagés ces dernières années. Un désavantage qui impacte négativement l’attractivité de la région qui ne bénéficie d’aucune incitation fiscale. C’est d’ailleurs ce faible niveau d’investissement qui est à l’origine du taux inquiétant du chômage qui dépasse les 20% dans les provinces sud de la région. Incomparable avec la moyenne nationale qui était de 9,9% pour l’année 2015.
 

Source : L'économiste

Oriental: Une plateforme pour valoriser les produits locaux

*195 millions de DH pour le développement des coopératives   *La promotion des ressources et du savoir-faire local.

Un nouveau partenariat multipartite pour la création d’une plateforme de valorisation et de conditionnement des produits agricoles locaux vient d’être lancé au niveau de l’Oriental. Il renforcera la compétitivité des coopératives de la région et ciblera les créneaux porteurs: les dattes de Figuig, les plantes aromatiques et médicinales des hauts plateaux, les huiles essentielles de Jerada, les huiles d’olive de Taourirt et Driouch, les truffes de Bouarfa, les amandes de Aïn Sfa, le miel et les olives de toutes les provinces. En amont, plusieurs objectifs sont assignés à ce projet: lutte contre la pauvreté et la précarité, promotion d’une agriculture solidaire et équitable, commercialisation et exportation des produits locaux, valorisation des savoir-faire régionaux et concrétisation des politiques sectorielles de développement.
En pratique, il s’agit d’une plateforme logistique de valorisation, de conditionnement, d’emballage, de promotion et de commercialisation des produits locaux et du terroir. Elle sera érigée sur une superficie globale de 5 hectares dont 3 hectares couverts. Elle sera constituée de  quatre structures: des locaux d’exploitation et administratifs, des chambres froides négatives et  positives, des unités  de traitement, de valorisation, de conditionnement et du matériel de transport et manutention. Le coût de ce projet est estimé à 195 millions de DH assuré par la wilaya à hauteur de 50 millions de DH, le ministère de l’Agriculture et de la Pêche maritime (40 millions de DH), le ministère de l’Industrie (40 millions de DH), le ministère de l’Artisanat et de l’Economie sociale et solidaire (15 millions de DH), le Conseil régional de l’Oriental (35 millions de DH), le Centre régional d’investissement (logistique de promotion)  et l’Agence de développement de l’Oriental (15 millions de DH). Cette enveloppe budgétaire est destinée aux frais de l’étude de faisabilité, à l’acquisition du terrain qui accueillera la plateforme et au programme d’investissement hors terrain. En plus, le MICIEN se charge de l’encadrement et de l’accompagnement dans le domaine de la commercialisation à travers Maroc Export. De son côté, le département de l’Agriculture assurera l’encadrement, l’accompagnement et l’expertise indispensables pour améliorer la productivité et la traçabilité des produits à valoriser.
Un comité de pilotage et de suivi constitué des représentants des partenaires sera institué et co-présidé par le président du CRO et le wali de la région. Il veillera sur la progression des travaux et des études. Il aura également pour tâche d’alerter les cosignataires en cas de difficulté dans l’exécution des travaux.

Source: L'économiste

4ème séminaire sur la diaspora et le développement local de l’Oriental à Berkane

Le Collectif des associations pour le développement de l'Oriental (CADOriental) organisera, du 22 au 23 octobre prochain à Berkane, la 4ème édition du Séminaire régional sur le renforcement des liens entre la communauté marocaine établie à l'étranger et les acteurs locaux de l'Oriental sous le thème "La culture au centre du développement local". Cette rencontre initiée en partenariat avec l'Agence de l'Oriental, le conseil régional et la province et la municipalité de Berkane, a pour objectif de "recenser les possibilités d'implication de cette diaspora dans le développement que connaît la région" et partant contribuer à la dynamique socio-économique du Maroc, la mère-patrie, indiquent les organisateurs. 


Ce séminaire qui connaîtra la participation d'autres associations locales débattra de plusieurs thèmes notamment en lien avec le rôle de la culture dans le développement local, la santé, le sport et l'économie sociale et solidaire comme éléments déterminants dans ce processus.


Outre l'importance de mettre en exergue la richesse et le patrimoine de la région, l'objectif est notamment de faire appel aux professionnels marocains prêts à partager leur expertise, leur expérience et leur savoir-faire au bénéfice du développement de leur pays, soulignent les organisateurs. Les séminaires de Figuig (20 13), d'Oujda (2014) et celui deTaourirt (2015), ont été marqués par des échanges fructueux entre les acteurs territoriaux et la diaspora marocaine sur le rôle que pourrait jouer cette dernière dans l'accompagnement des programmes de développement dans l'Oriental, rappellent-ils. Le Collectif des associations pour le développement de l'Oriental (CADO) est constitué d'associations et membres de la diaspora marocaine originaire de l'Oriental et d'autres régions du Royaume dans l'ambition d'offrir une structure de rencontre et d'échanges sur le développement local.

Plus d'informations sur : http://www.cadoriental.com/s%C3%A9minaire-Berkane.html
 

Timar : 25 pc du chiffre d’affaires sur l’Afrique dans 5 ans

Le spécialiste du transport et de la logistique Timar Afrique compte se positionner dans la future infrastructure portuaire Nador West Med. «Nous avons un département baptisé Projets qui travaille uniquement sur ce genre de projets qui nécessitent une organisation un peu spéciale eu égard à la nature des colis très lourds qui y seront traités. Ceci dit, effectivement, nous sommes en train d’étudier les différentes possibilités par rapport à ce projet pour lequel il faut trouver les bons partenaires», déclare au «Matin-Éco» Olivier Puech, directeur général de Timar Afrique, en marge d’une rencontre consacrée à la présentation de la nouvelle stratégie du groupe pour l’Afrique, le 11 octobre à Casablanca. Si le groupe se frotte les mains pour ce mégaport, c’est qu’il a à son actif des expériences dans des projets de taille comme le parc éolien d’Essaouira dans lequel il a été associé pour les opérations de transport et de logistique des équipements. «Nous avons assuré la logistique complète de grands chantiers tels que des centrales thermiques, centrales éoliennes, cimenteries, sidérurgies et autres implantations d’usines», s’enorgueillit le management du logisticien. Puech affiche son satisfecit de l’activité du groupe au Maroc où il affirme avoir engrangé 18% de croissance au premier semestre de cette année. «Toutes nos activités sont soit en stagnation soit en progression. Nous sommes très contents de la vigueur du marché marocain comparé à d’autres marchés en Europe. Avec l’arrivée de nouveaux métiers comme l’aéronautique et l’automobile, nous ne pouvons qu’espérer une bonne tenue de notre activité», soutient le patron de la société.

Source : Le Matin

La rocade d’Oujda quasi opérationnelle

1re étape du plan de déplacement urbain   *Désenclaver la partie sud de la ville et les quartiers avoisinants

Oujda est en phase de finaliser sa rocade. Une réalisation qui s’inscrit dans le cadre de la vision Oujda 2020 et qui ambitionne d’assurer la fluidité du trafic automobile tout en désenclavant plusieurs quartiers périphériques. La longueur totale de cette rocade avoisine les 35 kilomètres et les 11 derniers seront opérationnels dans 14 mois.  En effet, cette rocade sud qui relie le giratoire de la route nationale n°17 à Sidi Yahia, répond à toutes les normes techniques prévues pour ce type d’infrastructures, est-il souligné. Longue de 11 kilomètres, elle allégera la pression à l’intérieur de la ville tout en répondant aux exigences du Plan de déplacement urbain (PDU). La base de ce PDU est d’assurer une plateforme routière adéquate pour concrétiser tous les programmes de fluidité urbaine pour une cité moderne de 90 km2. En parallèle, il permettra de désenclaver toute la zone sud de la ville qui englobe le quartier «Semmara», le CHU, l’Université Mohammed Ier, la Wilaya et toutes les nouvelles administrations fournisseuses de services.

La réalisation de ce tronçon final nécessite la construction de 16 ouvrages d’assainissement, un deuxième pont sur Oued Ennachef et l’aménagement de 7 carrefours giratoires. Le budget qui leur a été alloué est de 80 millions de dirhams. Une enveloppe qui s’ajoute aux 320 millions de dirhams dédiés à la réalisation des voies structurantes (50 kilomètres) à l’intérieur de la ville d’Oujda. Ces travaux permettent à l’Agence urbaine d’Oujda d’exécuter la première action de son schéma directeur, à savoir relier la ville aux infrastructures réalisées comme l’aéroport Oujda-Angad, la nouvelle gare ferroviaire et l’autoroute.


Le nouveau schéma directeur est un document stratégique qui couvrira les 25 prochaines années. Il contribuera, en amont, à la réalisation d’une assiette foncière urbanisable pour les investisseurs et l’habitat. L’offre dans ce domaine est estimée à 2.500 hectares dédiés aux différents zonages d’habitat. «Ce schéma directeur remplace les 7 anciens dans une optique de bonne gouvernance pour corriger la gestion sectorielle d’une ville de 470.000 habitants. Il permettra également à Oujda de réussir sa mutation d’une municipalité en une mairie», confie à L’Economiste Said Lahbil, directeur par intérim de l’Agence urbaine d’Oujda.


En parallèle aux travaux de la rocade, d’autres sont en cours pour aménager les bordures de Oued Isly. Ainsi, 300 millions de dirhams sont débloqués pour ce programme d’embellissement sur 12 kilomètres avec un espace de vie étalé sur 150 hectares (animation, sports et aires de repos).

Source : L'économiste

Semences certifiées: L’Oriental assure son autosuffisance

C'est fait! Les laboratoires de l'Onssa à l'agropole de Berkane assurent à l'Oriental son autosuffisance en semences certifiées. Une réussite que le ministère de l'Agriculture généralisera à partir de ce mois sur les autres laboratoires du Royaume. Des formations seront pilotées par les ingénieurs de l'Onssa de l'Oriental pour dupliquer leur prouesse.


La réalisation de ces analyses au laboratoire régional d'analyse et de recherche de Madagh (section de contrôle de la qualité des semences et des plants) est une première au niveau national, concrétisant ainsi la première décentralisation des analyses. L'Oriental a été choisi pour le pilotage de ce processus complet de certification, grâce au savoir-faire de ses ressources humaines et aux équipements de pointe mis à sa disposition. Pour, au final, contribuer au développement quantitatif de la filière semencière et céréalière.


Ce n'est pas l'unique prouesse. L'Oriental a connu durant la campagne 2015-2016 l'augmentation de la production semencière qui a dépassé 90.000 quintaux, soit 200% de plus que la moyenne enregistrée au cours des précédentes campagnes.


A l'origine de cette production record, le bon encadrement des agriculteurs-multiplicateurs et la réduction du taux de refus en végétation de 40% en moyenne à 20% pour cette campagne. Les rendements moyens ont connu également une nette amélioration notamment dans la province de Nador où le blé a atteint 55 quintaux à l'hectare et 45 quintaux pour l'orge.


«La semence certifiée représente l'outil le plus important et le plus sûr parmi les intrants agricoles. Elle représente le facteur déterminant dans l'amélioration de la productivité et du rendement», confie à L'Economiste Ahmed Jamal, chargé du service régional du contrôle des plants et semences. Il ajoute que la certification des semences, basée sur le principe de contrôle de la filiation généalogique, est soumise à un ensemble de règles et de paramètres dont les normes sont fixées par la réglementation en vigueur.


La production semencière dans l'Oriental, composée essentiellement d'orge et de blé, représente en moyenne 50.000 quintaux (5% de la production nationale). La superficie allouée à la production durant la campagne 2015-2016 est de l'ordre de 2.200 hectares en irrigué dans sa totalité. Cette superficie est répartie par provinces comme suit: Nador 65%, Berkane30% et Oujda-Angad 5%. Quant au rendement moyen par hectare, il est de 45 quintaux pour les blés tendres, 40 quintaux pour les blés durs et 35 quintaux pour l'orge.

Source : L'économiste

CRI D’OUJDA: 2,4 MDH DE PROJETS VALIDÉS FIN JUIN 2016

Près de 128 projets, pour un investissement de près de 2,4 MMDH, ont été approuvés au cours du premier semestre de l'année en cours par le Centre régional d'investissement d’Oujda.

Ces investissements représentent 70% du total des projets instruits au cours de la même période, d’après le CRI d'Oujda, qui précise que les différentes commissions régionales ont examiné 183 projets d'investissement pour un montant global de plus de 4,8 MDH.
Le CRI note par ailleurs que 11% des projets examinés, soit 21 projets, ont reçu un avis défavorable pour différents motifs. 

L’analyse sectorielle de ces projets fait ressortir la prédominance des projets d’habitat d'un investissement global de près de 2,5 MDH, soit 51,67 % du volume d’investissement.

Source : leseco.ma

STATION SAÏDIA: 525 MILLIONS DE DH SUPPLÉMENTAIRES

En l'espace d'une année, la Société de développement de la station Saïdia a connu deux opérations d'augmentation de capital. La dernière injection de 525 millions de DH porte à présent le capital à 1,92 milliard de DH.

Après une première opération d'augmentation de capital initiée en février dernier, la Société de dévelopement de la station Saïdia (SDS) a encore besoin de cash. Et c'est aujourd'hui chose faite.

 

Les actionnaires de la SDS viennent en effet d’opérer une nouvelle augmentation de capital de l’ordre de 525 millions de DH par versement en espèce, portant ainsi son capital social à 1,92 milliard de DH.

Rappelons que la dernière opération d'augmentation de capital, remonte au mois de février 2016 et portait sur un montant de 350 millions de DH.

Depuis sa création en 2012, la société n'a eu de cesse de réaliser ce genre d'opération. Son capital a été augmenté à trois reprises.

Le montant total des fonds injectés s'élève 1,575 milliard de DH, alors que le capital initial de SDS affichait au compteur 350 millions de DH.

Source : Le360.ma